Le default de paiement de la dette grecque ne semble plus être qu'une simple hypothèse mais une réalité. En effet, la plupart des pays de l'union européenne ont envisager ce sénario, excepté la France. Un défaut de paieùent pouurait avoir des conséquences dramatique pour la France mais surtout pour les banques française. Nous ne connaissons pas exactement à quel niveau les banques française détiennent des actif de la dette Grecque. Encore plus inqui"tant, il semblerait que ces banques détiennent également de la dette italienne, alors que l'Italie vient de voir sa note dégradé par une agence de notation....
Des phénomènes inquétant vont dans se sens comme par exemple un pays comme la chine qui stoppe de nombreuses opérations avec les banques française. Ceci c'est déjà produit au plus fort de la crise de 2008. Un autre exemple qui donne matière à réfléchir, c'est la muti-nationale Siemens qui retire 500 millions d'un de ses comptes détenu par .... une banque Française.
Nous assistons également a une sur-activité du premier ministre français, François fillon et du ministre des finances Baroin, lors du G-20 reniant toute possibilité d'un défauts de paiement de la Grèce. D'ailleurs, le G-20 devrait se terminer avec une décision des plus prévisible, l'impression de monnaie afin de repousser l'échance...
Avec tous ces impression, la craintee d'une inflation devient de plus en plus omniprésente même si personne ne semble l'évoquer, pretextant que le mantien d'un taux d'intêret faible pourra la contenir indéfiniment . L'U.E voit venir la catastrophe des banques française et leur demande une recapitalisation....
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